Dans le contexte difficile, surtout à l'horizon 2020, il faut prolonger l'action engagée à travers les axes suivants :
. D'abord, poursuivre dans la voie de l'augmentation de la durée de cotisations nécessaires pour bénéficier d'une pension de retraite à taux plein. Il faudra sans doute aller plus loin et passer, à moyen terme, à 42 années de cotisations. Aussi, il ne serait pas indispensable d'ajouter à cette augmentation de la durée de cotisation requise pour la retraite à taux plein, une élévation de l'âge de départ, c'est-à-dire au-delà de 60 ans.
. Ensuite, achever l'alignement des règles applicables aux salariés des fonctions publiques et des régimes spéciaux sur celles applicables aux salariés du secteur privé. Les salariés des différentes fonctions publiques et des régimes spéciaux devraient se voir appliquer, à terme, les mêmes règles que celles du secteur privé en matière de calcul de la pension (pension calculée progressivement sur les 25 meilleures années de carrière) et en matière de revalorisation (indexation sur les prix).
. D'abord, poursuivre dans la voie de l'augmentation de la durée de cotisations nécessaires pour bénéficier d'une pension de retraite à taux plein. Il faudra sans doute aller plus loin et passer, à moyen terme, à 42 années de cotisations. Aussi, il ne serait pas indispensable d'ajouter à cette augmentation de la durée de cotisation requise pour la retraite à taux plein, une élévation de l'âge de départ, c'est-à-dire au-delà de 60 ans.
. Ensuite, achever l'alignement des règles applicables aux salariés des fonctions publiques et des régimes spéciaux sur celles applicables aux salariés du secteur privé. Les salariés des différentes fonctions publiques et des régimes spéciaux devraient se voir appliquer, à terme, les mêmes règles que celles du secteur privé en matière de calcul de la pension (pension calculée progressivement sur les 25 meilleures années de carrière) et en matière de revalorisation (indexation sur les prix).