Face aux difficultés économiques rencontrées par nos entreprises, le soutien et l’engagement des élus et des équipes de la Chambre de Commerce et d’Industrie Bayonne Pays Basque auprès d’elles n’ont jamais été aussi forts.
Nous comptons 15 267 entreprises ressortissantes et en 2012, afin de répondre à leurs attentes, nous avons effectué 14 856 actions : de la création, au développement économique, à la recherche de financement, au soutien à l’exportation et à l’innovation, en passant par la formation initiale de nos jeunes et la formation continue, jusqu’à la gestion concédée du Port de Commerce de Bayonne et celle du port de pêche de St-Jean-de-Luz / Ciboure.
Au premier semestre 2013, le nombre d’interventions individuelles de la CCI Bayonne Pays Basque a augmenté de 12,4%, et se chiffre à 7 513 interventions sur 10 070 au total. Ces résultats montrent toute l’importance du rôle de levier positif que jouent notre institution et ses 36 élus, chefs d'entreprises, bénévoles.
En projetant de sanctionner les CCI en leur appliquant un régime budgétaire punitif sans commune mesure avec n’importe quel autre acteur public, le gouvernement prive toutes les entreprises françaises d’un appui aujourd’hui vital. La réduction d’au moins 20% des ressources fiscales du réseau des CCI pèse deux fois plus que les efforts initialement prévus, sans que cela ait quelque impact sur la pression fiscale subie par les entreprises et qui restera au même niveau. En effet ces fonds seront attribués à d'autres projets de l'Etat sans rapport avec les entreprises.
La réalité économique est chaque jour de plus en plus dure pour les chefs d’entreprises, en particulier les TPE-PME, et par conséquent les salariés. Nous ne pouvons tolérer que les CCI et tous les acteurs de l’emploi et de la création de richesse soient les boucs-émissaires de la modernisation de l’action publique. C’est inadmissible.
Après avoir signé un pacte de confiance avec les CCI de France le 28 mai dernier, le Premier Ministre et son gouvernement profitent de l’été pour le casser purement et simplement. Il ne nous aura pas échappé au Pays Basque, que la parole d’un jour n’est plus celle du lendemain : le projet de la LGV en est un exemple criant, rappelons qu’après avoir déclaré en janvier « ça passera parce que ça doit passer, c’est l’avenir» le Président de la République soutient la décision de son gouvernement de reporter le projet à 2030, privant notre territoire d’un levier économique majeur.
Le pouvoir en place semble oublier que les projets de demain se construisent maintenant et que les entreprises vivent au travers de leurs salariés, fédérés autour d’un projet : celui porté par les chefs d’entreprises.
Nous comptons 15 267 entreprises ressortissantes et en 2012, afin de répondre à leurs attentes, nous avons effectué 14 856 actions : de la création, au développement économique, à la recherche de financement, au soutien à l’exportation et à l’innovation, en passant par la formation initiale de nos jeunes et la formation continue, jusqu’à la gestion concédée du Port de Commerce de Bayonne et celle du port de pêche de St-Jean-de-Luz / Ciboure.
Au premier semestre 2013, le nombre d’interventions individuelles de la CCI Bayonne Pays Basque a augmenté de 12,4%, et se chiffre à 7 513 interventions sur 10 070 au total. Ces résultats montrent toute l’importance du rôle de levier positif que jouent notre institution et ses 36 élus, chefs d'entreprises, bénévoles.
En projetant de sanctionner les CCI en leur appliquant un régime budgétaire punitif sans commune mesure avec n’importe quel autre acteur public, le gouvernement prive toutes les entreprises françaises d’un appui aujourd’hui vital. La réduction d’au moins 20% des ressources fiscales du réseau des CCI pèse deux fois plus que les efforts initialement prévus, sans que cela ait quelque impact sur la pression fiscale subie par les entreprises et qui restera au même niveau. En effet ces fonds seront attribués à d'autres projets de l'Etat sans rapport avec les entreprises.
La réalité économique est chaque jour de plus en plus dure pour les chefs d’entreprises, en particulier les TPE-PME, et par conséquent les salariés. Nous ne pouvons tolérer que les CCI et tous les acteurs de l’emploi et de la création de richesse soient les boucs-émissaires de la modernisation de l’action publique. C’est inadmissible.
Après avoir signé un pacte de confiance avec les CCI de France le 28 mai dernier, le Premier Ministre et son gouvernement profitent de l’été pour le casser purement et simplement. Il ne nous aura pas échappé au Pays Basque, que la parole d’un jour n’est plus celle du lendemain : le projet de la LGV en est un exemple criant, rappelons qu’après avoir déclaré en janvier « ça passera parce que ça doit passer, c’est l’avenir» le Président de la République soutient la décision de son gouvernement de reporter le projet à 2030, privant notre territoire d’un levier économique majeur.
Le pouvoir en place semble oublier que les projets de demain se construisent maintenant et que les entreprises vivent au travers de leurs salariés, fédérés autour d’un projet : celui porté par les chefs d’entreprises.