La vraie difficulté dans la gestion de nos entreprises pendant cette période de crise est de voir clair maintenant, et ceci dans un environnement particulièrement perturbé. Mais nous devons encore nous rappeler qu’il existe quelques fondamentaux de gestion à ne pas oublier.
Il est indispensable, et encore plus maintenant, de se concentrer sur quelques fondamentaux dans la gestion de nos entreprises :
- il faut plus que jamais se concentrer sur la trésorerie, les comptes clients, les comptes fournisseurs, les stocks, et ne pas oublier qu’il n’y a qu’un seul patron : le client. En effet, le client peut licencier tout le personnel depuis le directeur, jusqu'à l’employé, tout simplement en allant dépenser son argent ailleurs.
La mesure de la satisfaction des clients et leur fidélisation sont deux enjeux essentiels pour toute entreprise.
Chacun doit savoir, s’il ne le sait déjà que le coût d’acquisition d’un nouveau client revient cinq fois plus cher que l’entretien et le développement de relations déjà existantes. Pour espérer fidéliser nos clients, il faut instaurer chaque fois que faire se peut un dialogue pour donner à « nos clients » le sentiment d’être, sinon entendus au moins écoutés, en ayant constamment le souci de répondre à leurs sollicitations et de les informer des actions mises en œuvre pour contribuer à améliorer leur satisfaction.
Souvenez-vous, un client satisfait en parle à 3, et un client non satisfait en parle à 11.
Parmi les fondamentaux, il est nécessaire d’entretenir la confiance de nos partenaires financiers, nos banques sont des partenaires indispensables, mais avec lesquels il n’est pas toujours facile de négocier des lors que la confiance disparaît.
Ainsi, entretenir de bonnes relations avec ses banques est sans doute l’un des meilleurs moyens de pouvoir ensuite compter sur elles en cas de difficultés ou de besoins de trésorerie et surtout pour négocier avec elles les meilleures conditions bancaires. Et évidemment, il s’agit de ne pas nier la crise au risque de se retrouver seul face à ses difficultés.
Le mot « crise » en chinois est composé de 2 caractères : danger et opportunité. Le fait d’être en période de crise ou en période d’opportunité dépend de l’interprétation que l’on fait des évènements.
Après la crise la reprise diront les plus optimistes : les entreprises qui tirent partie de la conjoncture pour renforcer un modèle économique solide pourront, non seulement survivre à la crise, mais aussi en sortir plus fortes.
Celles de nos entreprises qui seront placées dans cette dynamique seront alors idéalement positionnées pour profiter des nouvelles opportunités de croissance lors du redémarrage de l’économie : à nous de jouer.
Il est indispensable, et encore plus maintenant, de se concentrer sur quelques fondamentaux dans la gestion de nos entreprises :
- il faut plus que jamais se concentrer sur la trésorerie, les comptes clients, les comptes fournisseurs, les stocks, et ne pas oublier qu’il n’y a qu’un seul patron : le client. En effet, le client peut licencier tout le personnel depuis le directeur, jusqu'à l’employé, tout simplement en allant dépenser son argent ailleurs.
La mesure de la satisfaction des clients et leur fidélisation sont deux enjeux essentiels pour toute entreprise.
Chacun doit savoir, s’il ne le sait déjà que le coût d’acquisition d’un nouveau client revient cinq fois plus cher que l’entretien et le développement de relations déjà existantes. Pour espérer fidéliser nos clients, il faut instaurer chaque fois que faire se peut un dialogue pour donner à « nos clients » le sentiment d’être, sinon entendus au moins écoutés, en ayant constamment le souci de répondre à leurs sollicitations et de les informer des actions mises en œuvre pour contribuer à améliorer leur satisfaction.
Souvenez-vous, un client satisfait en parle à 3, et un client non satisfait en parle à 11.
Parmi les fondamentaux, il est nécessaire d’entretenir la confiance de nos partenaires financiers, nos banques sont des partenaires indispensables, mais avec lesquels il n’est pas toujours facile de négocier des lors que la confiance disparaît.
Ainsi, entretenir de bonnes relations avec ses banques est sans doute l’un des meilleurs moyens de pouvoir ensuite compter sur elles en cas de difficultés ou de besoins de trésorerie et surtout pour négocier avec elles les meilleures conditions bancaires. Et évidemment, il s’agit de ne pas nier la crise au risque de se retrouver seul face à ses difficultés.
Le mot « crise » en chinois est composé de 2 caractères : danger et opportunité. Le fait d’être en période de crise ou en période d’opportunité dépend de l’interprétation que l’on fait des évènements.
Après la crise la reprise diront les plus optimistes : les entreprises qui tirent partie de la conjoncture pour renforcer un modèle économique solide pourront, non seulement survivre à la crise, mais aussi en sortir plus fortes.
Celles de nos entreprises qui seront placées dans cette dynamique seront alors idéalement positionnées pour profiter des nouvelles opportunités de croissance lors du redémarrage de l’économie : à nous de jouer.